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on 13 août 2009
- Bayonne : Vendredi 7 août - Novillade non-piquée - Erales de El Palmeral
Mateo Julian toucha un eral sans classe, sans force et sans race. Bien réceptionné à la cape par un farol à genoux et des véroniques allurées, notre élève ne réussit pas à s'entendre avec les charges décomposées de l'animal. L'épée ne fut pas non plus au rendez-vous.
Mateo Julian toucha un eral sans classe, sans force et sans race. Bien réceptionné à la cape par un farol à genoux et des véroniques allurées, notre élève ne réussit pas à s'entendre avec les charges décomposées de l'animal. L'épée ne fut pas non plus au rendez-vous.
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on 13 août 2009
- Mimizan : mercredi 5 août - Novillade non-piquée - Erales de Lescot
Mateo Julian eut à faire a un eral doté de genio et de violence. Quelque peu précipité en début de faena, il réussit à canaliser la charge désordonnée de son adversaire, réussisant même à donner des redondos inversés. Après une bonne estocade, il coupa une oreille méritée.
Mateo Julian eut à faire a un eral doté de genio et de violence. Quelque peu précipité en début de faena, il réussit à canaliser la charge désordonnée de son adversaire, réussisant même à donner des redondos inversés. Après une bonne estocade, il coupa une oreille méritée.
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on 13 août 2009
- La Calmette - jeudi 6 août - Graines de Toreros - Vaches et Erales de Jacques Giraud
Les vaches ne donnèrent pas le jeu espéré pour une telle manifestation. Dénuées de toute bravoure, elles posèrent de grandes difficultés dans la muleta de nos élèves.
Borja Jiménez, de l'Ecole Taurine de Espartinas, fit front avec sérieux et volonté face aux difficultés. Sa fanea connut de bons moments de par son engagement et lucidité.
Mateo Julian, fit face à l'adversité avec opiniâtreté et décision. Il compris qu'il fallait toréer la vache dans son terrain, celui des planches, afin de pouvoir la dominer et lui donner des muletazos par le bas afin de la soumettre et s'imposer.
Victor Alvarez ne fut pas très à l'aise face à sa vache qui demandait de la décision et de l'envie. Il donna de bons muletazos mais trop isolés.
Jordi, toucha la meilleure de la matinée face à laquelle il alterna le bon et le moins bon. Lorsqu'il arrive à baisser les mains et à présenter la muleta correctement, les muletazos sont de bonnes factures. Malheureusement, très souvent, ces bons muletazos sont noyés dans des approximations du fait de terminer ses passes par la haut, se faisant constamment accrocher la muleta.
Le jury désigna Borja Jiménez et Jordi pour la lidia des deux erales.
Le premier eral pour l'élève de l'Ecole Taurine d'Espartinas sortit avec beaucoup de difficultés, le mettant constamment en danger du fait de son manque de race. Borja Jiménez fit front, se battit comme un vrai novillero et réalisa une faena de courage face à cet animal qui ne voulait rien savoir et qui cherchait constamment à attraper le novillero. Après une bonne estocade, il coupa une oreille.
Jordi quant à lui toucha un bon eral, sans trop de force et doté d'une bonne qualité de noblesse. Las, l'élève du Centre de Tauromachie de Nîmes s'est rendu compte du long chemin qui lui reste à parcourir. Dépassé, sans recours physique et à la mercie de son adversaire, Jordi, malgré une volonté de bien faire, n'a jamais réussi à s'imposer. La mise à mort fut longue et laborieuse. Souhaitons que Jordi puisse tirer les enseignements de cette "contre" performance et travailler en fonction.
Les vaches ne donnèrent pas le jeu espéré pour une telle manifestation. Dénuées de toute bravoure, elles posèrent de grandes difficultés dans la muleta de nos élèves.
Borja Jiménez, de l'Ecole Taurine de Espartinas, fit front avec sérieux et volonté face aux difficultés. Sa fanea connut de bons moments de par son engagement et lucidité.
Mateo Julian, fit face à l'adversité avec opiniâtreté et décision. Il compris qu'il fallait toréer la vache dans son terrain, celui des planches, afin de pouvoir la dominer et lui donner des muletazos par le bas afin de la soumettre et s'imposer.
Victor Alvarez ne fut pas très à l'aise face à sa vache qui demandait de la décision et de l'envie. Il donna de bons muletazos mais trop isolés.
Jordi, toucha la meilleure de la matinée face à laquelle il alterna le bon et le moins bon. Lorsqu'il arrive à baisser les mains et à présenter la muleta correctement, les muletazos sont de bonnes factures. Malheureusement, très souvent, ces bons muletazos sont noyés dans des approximations du fait de terminer ses passes par la haut, se faisant constamment accrocher la muleta.
Le jury désigna Borja Jiménez et Jordi pour la lidia des deux erales.
Le premier eral pour l'élève de l'Ecole Taurine d'Espartinas sortit avec beaucoup de difficultés, le mettant constamment en danger du fait de son manque de race. Borja Jiménez fit front, se battit comme un vrai novillero et réalisa une faena de courage face à cet animal qui ne voulait rien savoir et qui cherchait constamment à attraper le novillero. Après une bonne estocade, il coupa une oreille.
Jordi quant à lui toucha un bon eral, sans trop de force et doté d'une bonne qualité de noblesse. Las, l'élève du Centre de Tauromachie de Nîmes s'est rendu compte du long chemin qui lui reste à parcourir. Dépassé, sans recours physique et à la mercie de son adversaire, Jordi, malgré une volonté de bien faire, n'a jamais réussi à s'imposer. La mise à mort fut longue et laborieuse. Souhaitons que Jordi puisse tirer les enseignements de cette "contre" performance et travailler en fonction.
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on 13 août 2009
- Hagetmau : mardi 4 août - Novillade non-piquée - Erales de Roland Durand
Mateo Julian sut comprendre son eral de Roland Durand qui demandait à être enganché à l'oeil contraire et conduit avec douceur par le bas à la fin du muletazos. En début de faena, il fit l'erreur de donner des séries trop longues que ne supportait par le Roland Durand. Ensuite, et suite à un accrochage dans lequel il perdit l'épée, il se recentra pour donner les meilleurs muletazos de l'après-midi avec cadence, profondeur et douceur. Il donna des derechazos de très bonnes factures sans l'épée, restée au sol, qui ravirent le public. Après un pinchazo et une entière, il coupa une oreille fort méritée. A l'issue de la novillade, le prix décerné au triomphateur fut partagé entre José Miguel Valiente et Mateo Julian.
Mateo Julian sut comprendre son eral de Roland Durand qui demandait à être enganché à l'oeil contraire et conduit avec douceur par le bas à la fin du muletazos. En début de faena, il fit l'erreur de donner des séries trop longues que ne supportait par le Roland Durand. Ensuite, et suite à un accrochage dans lequel il perdit l'épée, il se recentra pour donner les meilleurs muletazos de l'après-midi avec cadence, profondeur et douceur. Il donna des derechazos de très bonnes factures sans l'épée, restée au sol, qui ravirent le public. Après un pinchazo et une entière, il coupa une oreille fort méritée. A l'issue de la novillade, le prix décerné au triomphateur fut partagé entre José Miguel Valiente et Mateo Julian.
